Femme B.C.B.G, Escorte, Non, Pute (17)
Alors que jai surpris Valérie à donner des ordres pour la gestion de lorganisation quelle mavoue avoir créé, elle mexplique comment dune fille libre le jour de ses dix-huit ans, elle a décidé de vivre de la prostitution consentie dans un premier temps à un rôle descorte girl, pute quand même mais pute de classe internationale.
Cette histoire quelle me raconte me met en retard pour mon rendez-vous.
Il faut que je parte, je serais chez Véronique ce soir ainsi quAnne.
Valérie, si tu as le moindre problème, appelle-moi, tout de suite une fusée arrivera.
Part sans crainte, Aline mon petit bouchon sera encore à mes côtés cette nuit.
Je commence à me sentir mieux.
Je quitte sa chambre, dans la cuisine, je retrouve Aline, qui est nue et qui vient me sauter au cou.
Stop, je dois partir, repoussons la tentation. Je la repose au sol et lui dis à demain.
Avant de revenir à linstitut, je passe chercher un paquet dans un magasin. Jai passé la commande, il y a quelques jours par téléphone.
De retour auprès des filles, je récupère mes deux petites femmes.
Nous embrassons Antoinette et Véronique qui parte vers les transports en commun. Nous partons toutes les trois vers une boutique de vêtements proche de là où jai remarqué des tenus sympathiques.
Nous entrons, la vendeuse nous accueille et veut savoir ce que nous désirons.
Je repère un ou deux petits ensembles qui existe dans différentes couleurs et de tailles différentes.
Jentraîne mes filles avec moi dans une cabine dessayage.
Nous enlevons nos vêtements et intégralement nue toutes les trois nous commençons nos essayages.
Il faut voir la tête de la vendeuse quant elle passe le visage pour nous demander si tout va bien.
Nous choisissons la même tenue dans des couleurs différentes.
Vert pâle pour Anne, beige pour Véronique et Violet très pale pour moi.
Je demande la note.
Cadeaux pour mes deux compagnes.
Elles ne savent pas qu en passant à Chennevières laprès-midi, jai trouvé un relevé bancaire crédité de plus de dix mille euros.
Nous récupérons la voiture et je vais me garer à deux pas dune boutique que je souhaite explorer.
Nous arrivons devant la porte que je commence à bien connaître.
Le responsable me lance toujours les mêmes encore vous, avec un grand sourire.
Jaimerais essayer une tenue latex que vous avez dans la salle attenante.
Je vous y conduit.
Véro reste à la caisse avec Anne, je reviens.
Nous entrons dans la salle. Je choisis un modèle, le patron me toise et me donne une taille.
Je vais sortir me dit-il, il faut que vous soyez nue pour faire lessayage.
Non resté vous allé me montrer les gestes quil faut faire pour enfiler cette seconde peau. Rapidement je me mets nue devant lui.
Rapidement je vois son entrejambe prendre du volume dans son jeans très moulant.
Je me glisse dans la combinaison en latex. Il maide en la tirer vers le haut.
Sa main longe mon sein ou le mamelon apprécie et se redresse.
Un frisson parcourt ma colonne vertébrale.
Il reprend la peau à hauteur de mes hanches. Je sens carrément quil frôle ma chatte.
Après quelques efforts, elle est en place. Je me contemple dans la glace en pied.
Sensationnelle leffet que me fait ma silhouette amincie même si ma ligne est parfaite.
Je comprends que je le fais bander de plus en plus fort.
Je passe à coté et me présente aux deux amies qui regardent des livres cochons.
Je viens à leur hauteur et leur demande de bien garder la porte. Je retourne dans la salle et commence à enlever la peau.
En gentleman, il maide. Lorsque je suis de nouveau nue, je magenouille devant lui et lui sors la bite.
Ten, veux toujours plus ma salope, je vais ten donner !
Je la pompe et la suce sur toute sa longueur.
Jai dans mes mains et dans ma bouche un bâton de fort diamètre et une taille respectable. Je peux même dire que de ma vie je nen ai jamais vu de ce calibre.
Je me relève.
Il me fait pivoter et, je prendre appui sur le mur proche.
Il menfile par-derrière dans ma moule bien humide. Sa charge est violente, la grosseur de son bâton remonte au plus haut de ma grotte.
Aucun problème, je jouis. Une bonne secousse dun moment, dun bon moment.
Je lui demande de venir dans ma bouche, je récupère son foutre en faisant attention davaler la moindre parcelle.
Je remets mes affaires. Je vais à la caisse, paye et nous quittons la boutique.
De retour à lappartement, Véronique me met ma laisse.
Pas de problème, jai plutôt envie de subir ce soir.
Nous dînons et au désert, je vais chercher le paquet récupéré laprès-midi. Je le donne à Anne qui louvre.
À lintérieur un collier avec des pierres dun bleu pâle et deux laisses.
Je lui attache autour du cou.
Les pierres sont des aigues-marines.
Avec le collier, il y a deux laisses. Lune pour Véronique, lautre pour moi.
Acceptes-tu ces deux laisses qui te lient aussi bien à moi quà Véronique.
Sans rien dire, elle saisit les deux mousquetons et les fixes à lanneau de son collier et nous dit, « je suis votre petite chienne pour la nuit ».
Nous partons ensemble vers la chambre.
La nuit dernière, intense pour Véronique et moi ainsi que la journée de travail, ralentissent nos ardeurs. Nous nous douchons chacune lavant lautre et nous nous couchons Anne au milieu de nous.
Elle pose chacune de ses mains sur nos chattes. Introduits trois doigts dans nos vagins et nous masturbent doucement.
Une douce torpeur menvahit, jusqu'à ce que je sente un poids sur moi.
Telle le serpent qui avance sur le sol, ma biche est en train de se lover sur moi afin de me masser comme elle a appris avec tout son corps.
Elle se glisse vers Véronique et entreprend de lui faire subir le même traitement très doux.
Pendant de longues minutes, elle monte et elle descend le long de nos corps.
Lhuile quelle sest mise sur tout le corps commence grâce à ces mouvements à pénétrer nos épidermes. Par ses mouvements, elle réveille en moi des envies.
Un moment sa chatte passe à hauteur de mon visage. Je lui att les jambes pour limmobiliser. Je plonge ma bouche dans sa vulve. Surprise, elle pousse un grand gémissement de plaisir.
Ma langue va et vient dans sa fente. Je suce le jus qui suinte de ses parties intimes.
Comme je lai immobilisée tête en bas, elle a elle-même plongé dans le sexe de Véro.
Elle lui lèche les poils consciencieusement comme si elle voulait les peigner où les arracher quand le plaisir que je lui procure est trop intense.
Avec ses doigts, je la sens pénétrer ma chatte et commencer à entrer en moi. Ma fente a pris lhabitude de recevoir sa main et a acquis une élasticité plus grande.
Le seul point de blocage, cest son poignet. Que cela ne tienne, elle force un peu et tous pénètrent.
Ma grande émet des petits cris qui vont crescendo. Je penche la tête et je vois quAnne est en train de pratiquer la même opération dans la chatte de Véronique.
Sa main entière est lovée à lintérieur. Dun seul coup, elle ouvre ses mains dans nos deux chattes. Nous jouissons ensemble en nous regardant dans les yeux lune de lautre.
Au matin, une bonne odeur de café envahit la chambre.
Anne arrive avec un plateau où elle a préparé nos petits déjeunés.
Après le traitement quelle nous a fait subir, nous méritons bien une petite compensation.
Pimpantes avec les nouvelles tenues enfilées, nous partons au boulot.
Quelle entrée triomphale lorsque nos amis nous voient habillés avec les mêmes modèles dans des couleurs différentes.
Il mest impossible de dire quelle est la plus jolie de vous trois !
Anne avec ses ascendants indonésiens dans sa tenue vert pâle.
Véronique avec sa crinière rousse et habillée de beige ou toi pouliche magnifique avec ton ensemble violet.
Deux possibilités, vous sortez devant la boutique et nous demandons aux passants de voter où je vous classe exéco.
La sonnette de la porte sonne, elle souvre et Virginie fait son entrée accompagnée par Aline.
Je vois que lon samuse bien.
Quand le chat est absent
Je vais mieux. Je voulais revoir linstitue, elle me manquait, vous me manquiez.
Jai amené Aline avec moi pour faire quelques achats.
Anne saute au cou de sa sur.
Elles sembrassent à en arrêter de respirer.
Aline écarte Anne delle pour la regarder.
Virginie, jaimerais avoir ce genre de vêtements. La ligne est jeune comme jaime.
Virginie la prend dans ses bras, lui dépose un baisé au coin de ses lèvres.
Oui, mon cur !
Je crois connaître la boutique où vous êtes allé, nous allons y aller.
Retrouvé-nous au restaurant habituel à la fermeture de midi, nous déjeunerons ensemble.
Je vais passer réserver.
Bises à toutes.
Une cliente pousse la porte, nous sommes en retard. Je linstalle dans la cabine et vais lui chercher une tasse de café pour la faire patienter.
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